Je l’appelle tout simplement le Livre, sans autre précisions ni épithètes, et il y a dans cette retenue un soupir d’impuissance, une silencieuse capitulation devant l’immensité du transcendant, car aucun mot, aucune allusion ne saurait briller, embaumer, vivre de ce frisson d’effroi, de ce pressentiment de la chose sans nom dont seul un avant-goût sur le bout de la langue dépasse les limites de l’émerveillement. (Bruno Schulz)
Le lendemain de la la soirée de lancement de Féroce (le 7 février 2024), je reçois un mystérieux message (par courriel) qui m’a d’emblée intrigué.
L’adresse paraissait fantaisiste.
J’en serais resté là si, la semaine suivante, puis la semaine d’après, et comme ça, semaine après semaine, pendant deux années environ, je n’avais reçu de nouveaux messages, du même destinateur. J’ai tenté de le contacter, en vain : l’adresse n’existait pas. J’ai pris la décision de rendre ces « envois » publics.
Il suffit de cliquer ci-dessous.
NdA