A quoi sert-il d’être seul si pas de réelle mise au point, de bras le corps, son propre corps ? Le temps passe trop vite, je dors trop, je mange trop, je perds trop de temps à trop de choses. Pourtant je suis seul, sans quasi d’internet, je suis libre d’horaires et j’ai sous la…
Étiquette : la littérature inquiète
La théorie est un idiome (entretien avec Laurent Margantin)
J’ai donc réalisé un entretien avec Margantin, du site Œuvres ouvertes, pour « Une autre rentrée littéraire » mis en ligne par Actualitté, et dans le cadre de la série sur les auteurs dits « Publie.net ». Très fiers pour cela d’être aux côtés de (ordre chronologique des entretiens ; sur le prénom leur site internet ; sur le…
Petit traité d’itérologie (01)
En son temps, Michel Butor avait proposé la création d’une “science” nouvelle, l’itérologie, ou science des déplacements humains, des voyages, des exils, des nomadismes. En tant qu’ils sont objets de l’imaginaire et du langage, je soupçonne les “livres” de littérature (peu importe le genre) de participer, par la téléportation qu’ils provoquent et le déplacement de…
Du matériel comme programme
Pourquoi après tout faire tant cas de ces aspects techniques ? C’est qu’à mon sens, et après avoir à la fois changé d’ordinateur et rénové mon « empreinte numérique », je constate que les auteurs, bien souvent, ne maîtrisent pas tellement les données et les machines qu’ils utilisent. Je ne sais pas si cet article aura valeur d’exemple,…
Quiproquos 1 — C’est pas rien
François Bon et les éditions Publie.net me font l’honneur de publier un texte, un récit, intitulé Pas rien et, paradoxalement, j’ai beaucoup de difficultés à le… « défendre ». C’est grave, ce qui arrive. Et c’est très hasardeux, aussi. C’est malentendu et concours de circonstances. J’aimerais revenir un peu sur elles, et exprimer mon sentiment très partagé….
Pas rien
François Bon et les éditions Publie.net me font l’honneur de publier un texte, un récit, intitulé Pas rien. Ce texte est le troisième d’un triptyque un peu ancien, et j’ai été surpris de voir qu’il pouvait intéresser une « rentrée littéraire », même numérique. Comme je le dis ailleurs : C’est presque texte de jeunesse, en tout…
Notes éparses sur la littérature inquiète
Petit registre d’idées venues on ne sait comment, reparties aussi vite, jamais développées plus, jamais creusées, ni étayées ; un journal de la littérature inquiète. Noter que. Les réseaux sociaux assument ce qu’étaient jadis les revues. Une manière de poser un nom, et permettre échange et découvertes de ses contemporains. 05/10 & Noter que. Tu…
Twitter • avril-juin 2011
On me suit ici : http://wwww.twitter.com/amboilati | @amboilati Avril-Juin 2011 Parce qu’en somme les média sont au milieu, Mai s on en a assez des inter[média]ires, on a déjà la langue ; on veut l’immédiat. 29 Juin Litanie de marginaux rassemblés en l’île : negundo, phytolaque, renouée, anodonte, verge d’or, jussie, naïade, élodée, ragondin, roms……
Noms communs
Ce texte est une série de notes, destinées à La littérature inquiète, texte en ligne se construisant peu à peu autour du concept du lir&crire. Il s’agit du début du troisième ouvrage, qui tire les enseignements des deux premiers et replace, dans leur contexte, et leur rapport, les œuvres de Maurice Blanchot (premier ouvrage) et…
L’inquiétude
J’appelle inquiétude de la littérature, le basculement impénétrable et inexorable, entre LIRE et ECRIRE et qui fait de chaque lecteur un écrivain (on dirait mieux « écriveur », mais ce n’est pas très heureux, ou « scripteur », mais cela fait trop Nouveau Roman ou Tel Quel) et de chaque écrivain (écriveur-scripteur) un lecteur. Ce mouvement est à la…