Dove si dice che… § Se pensi che sei il primo a propormi una vita migliore, sogni di felicità, tenerezza e amore, belìn. Non immagini quanti uomini perbene me l’hanno già promesso. Anche avvocati, professori, medici. Anche qualche tipo del comune, ti giuro. Vedi ? § Ma lo so bene io che la felicità si…
Étiquette : corps
3. Sequentia (2)
A partir d’images soi-disant explicites, censées obscènes, régulièrement censurées. 2. Séquence de l’œil qui voit Accroupie, ou à quatre pattes, ou immodérément penchée vers toi de sorte que, ou renversée, retournée, égarée, tu ne puisses plus autre chose mais l’œil. Ce n’est plus qu’un corps tu n’es plus que corps il n’y a pas d’autre…
3. Sequentia (1)
Séquence 1 : Séquence de la main qui boit Elle la femme la femme elle est allongée et sommeille elle semble comme morte elle dort comme mort ses jambes ne la portent plus l’héroïne de cette sequentia c’est la main et la main c’est la peau la peau c’est le bout, l’extrémité la peau c’est…
Twitter • juillet-septembre 2010
On me suit ici : http://wwww.twitter.com/amboilati | @amboilati Juillet-septembre 2010 De quoi le nom est-il le corps ? 28 Sep #déménagement | dans les cartons, la plage ? 28 Sep (2) et vous moins que #moije. et hier moins que demain. non ; pas le moment | quand quelque chose | vibre #publienet : entre-texte…
2. Kyrie
Je me soumets à toi, aie pitié ! C’est la densité de la chambre intime, l’alcôve où se tiennent les débats, qui oblige au silence. Ce silence est affirmation. Ce silence est l’affirmation de l’écoute ou de l’attention. Ce silence est attente | soumission. Le silence, imposé par l’éminence et l’évènement, tient plus de la…
1. Introït
Il y a des images, en pagaïe, des flopées d’images, des milliers d’images, disponibles partout, des images assaillantes, lancinantes. Lutter, lutter contre l’image, lutter contre l’écran, qui pousse à cran. Crante et taraude. Il y a cette image de toi avec cette amie à demi-nue. (Je la connais.) Il y a cette image de toi…
Punctum/déchirure (notes de travail)
la lâcheté de l’empiècement, quand, affairée, et qui laisse deviner plus, et plus la chair est opaque, le grain épais, et ce qui touche est densément présent — dans la main, sur la peau se noyer dans le corps, se laisser prendre par l’odeur et le goût, la peau et le poil, la douleur, la…
L’eau est froide
L’eau est froide quand « tu la rentres », c’est un mur transparent ou bleu turquoise, selon. La roche grise, les cailloux blancs de Lez t’éclaboussent tout autant. Mais c’est en pensant à la yeuse qui surplombe (tu disais toi-même qu’avec ses deux racines dans le vide « elle avançait ») que tu te laisses prendre par le courant…
Du désir
les écoulements sensibles, les éraflures choisies, les senteurs de musc ou les grain esseulés, les cordes qui arriment les mots qui ne s’ouvrent pas et la sueur et la sueur mais que dira-ton de nouveau du désir ? Je me demande parfois ce que peuvent penser de nous, les gâcheurs, ceux qui n’ont que du…
Marques du temps
Le visage est-il du corps ? Quand je modèle en rêve des accouplements, est-ce que j’y mets des yeux ? Jamais. Les yeux, comme le sexe, est une blessure en l’homme ou la femme. Une blessure, qu’est-ce que c’est ? C’est une part de nous à laquelle manque autre chose. La blessure vulnéraire, occasionnelle, est…