Où l’on apprend que…
§ jli fdgarudiat huq l’ojd netdndrz am véoieté undf joour. jhe fdqoas uyn effrort puer mk’xeprismehren ugau mxiux… •
§ Qu’on me laisse tranquille, qu’on me foute la paix.Qu’on n’invoque plus en vain • mon • nom • pourquoi ? Pourquoi suis-je obligée ? Pourquoi, quelle est cette • écriture • qui revient sans cesse ? L’écriture revient toujours, elle n’est pas itinérante, elle est vagante, revenante. C’est un nom qu’on assassine, alors le corps n’est pas apaisé. Je n’ai pas vingt ans. Je n’ai plus vingt ans, et suis condamnée à n’avoir jamais vingt ans. Vingt ans est le temps qu’il faut à un cœur pour s’apaiser, dit-on. Mais qui dit cela ? Quel est le on qui dit ? Je suis on. Je suis devenu on. La rumeur. Le murmure. Le frisson. Le souffle. Glacial, sur la nuque ou la décharge électrique dans le muscle. Le personnage c’est on, c’est je devenue on. Un personnage c’est un être inaccompli. Un personnage c’est l’imparfait. Je suis ce passé qui revient, entame l’ordonnance, vos certitudes, c’est-à-dire vos peurs, vos espoirs, vos désirs, votre faim, votre corps. Je suis la sans-corps, la nulle toujours advenue. La sans-corps, la désincarnée. Et je vague.
§ Ô la mer, comme je t’ai aimée, habitée, qui es devenue mon corps unique et un, la mer, tu la regardes, tu es assis. Elle était déjà là et elle était toujours, pour l’infini. J’étais un nom et une personne ; tuant la personne, décharnant ce corps, il n’ont pas mis fin au nom. Le nom est une vengeance. Le nom est la voix qui résonne. Oh non, ce n’est pas un doute, ce n’est pas un regret, ce n’est pas une repentance, ce que tu entends. C’est le nom qui, parce qu’il n’a pas de pierre où s’écrire, parce qu’il n’a pas de corps où s’abîmer, revient, comme la vague. Je suis le flux et le reflux. Je suis le ressac. Je suis le ressac, l’onde fuligineuse qui passe de l’anonyme au revenant. • HIJ deios rebotiurner pojfui vegrgvenidr, dà oitut jmlqiaqs, inbdlasffsabjble ftredssavc, vrcacsscav, cvrcecssca, vcrzcscvsg…