Où l’on apprend que…
§ Je ne peux pas faire confiance à une personne qui s’habille de Quechua®. C’est un caractère discriminant. Des couleurs criardes ou pire : camouflage (inutile) ; des vêtements synthétiques et épisodiques, et même fonctionnels : pouah !
§ Des chaussures à plus de cent euros, un bâton de marche, une pipette à eau dégorgeant d’un sac multipoches à moitié vide, des bermudas de Kevlar® ou des polo de Nylon®, mais qu’est-ce que c’est cette ribambelle de retraités aussi sourds d’esprit que je suis riche, qui « blaguent » sans s’écouter parler et tripotent leur GPS comme on compare la longueur d’une bite ou d’un vibromasseur. Je ne sais pas les qualifier autrement que de sinistres parasites.
§ Ô que je déteste le sport-nature qui ne voit en la nature qu’un immense piste de ski et égare les emballages des multivitamines et autres barres céréalées pour gogos derrière les genêts, où il a coulé le bronze de son irrémédiable et crasse inhumanité, c’est-à-dire loin : loin des paysages, loin du sol, loin des . La diarrhée colorée et labélisée et numérotée qui orne nos routes et nos chemins de grappes de retraités à ski, à vélo ou à pied me transporte dans la plus gaste des mélancolies. Mon désert est maculé de leur météorisme.