Où l’on apprend que…
§ Suffit •
§ Sa |
§ Peine.
Le premier cycle de Suffit sa peine se termine ; des impératifs floristiques occupent tout l’empan du jour, et n’aurai pas la force, de nuit, de porter ce que les jambes ne porteront plus. Je ne sais pas s’il y aura une suite. Je sais qu’il y aura un travail de réécriture, un plan et une mise en cohérence des liens au travers des cent et un textes. Merci aux nombreux lecteurs • dont @brigetoun, @theoneshotmi, @angkhistrophon, @garpavecarobase, @liminaire, @c_sanchez, @christogrossi, @cgenin, @marysehache, @petiteracine, @madmanclaro, @francisroyo • aux adeptes des réseaux sociaux aussi, d’avoir fait suivre ces textes hasardeux et souvent mal ficelés. Mais c’était le pari. BV
A mi-chemin entre le Convoi des Glossolales animé par Anthony Poiraudeau et L’Autofictif d’Eric Chevillard, entre le haïku traditionnel et la microfiction la plus moderne, Suffit sa peine distille des histoires en trois paragraphes, dont l’un, composé d’une seule phrase, peut être le titre. Chaque histoire est un chapitre. C’est un exercice quotidien.
Repartir du numéro 1.