Avide de marnes blanches, parcourt chaque serre en quête d’éboulis de déchirures de taillades.
Parfois comme hier, pénètre des forêts au sommet, très herbeuses, pleines de buis qui sont des placards à sangliers.
Deux vus, deux entendus, sur ce petit promontoire, peur soudain ; pas moyen de grimper aux chênes, trop
frêles et cassants.
Chante et parle, mais si les sangliers aiment la musique ? Jeunes mâles peu de danger. Sinon grimper au mât de sa propre peur ?