Même dès que le soleil perce un peu, se contenter de la freiner, cette lumière, tourner le volet, travailler dans la pénombre ; quand tu travailles le jour, écrire la journée, il faut un peu exiler les formes et les ombres, donner à laver la nuit un peu, là, et que brille l’écran, seul. Nos journées ce ne seraient pas des insomnies ?