Sous les frondaisons océanes,
et sous les brûlures qui l’accompagnent,
son visage de bruyère,
ses manches de sable et d’eau :
tu y comptes laiches ponctuées,
Boulègue, tu t’avilis
à l’orée des vulpins, des canches,
et plus encore, au bord
d’une mare condamnée.
De la route te parviennent
les effluves des canyons
ocres, carmin et rose lavé
de feu,
par la bonde, le siphon
passent,
t’ensevelissent.