Il suit son cours puis il s’étiole, n’étant lus que la moitié de lui-même.
Sa moitié réelle, le propre décidément, doucement à jamais il s’enfonce dans les petits parallélépipèdes de papier, il disparaît.
C’est en quoi sa période de demi-vie est si fabuleuse, il sait qu’il va rejoindre, en s’éloignant par mitan (ou de profil pourrait-on dire, visage d’une feuille), rejoignant le monde du vivant – l’organique.
(Sans qu’on sache bien lequel (illisible) à l’autre)
(L’idée était pourtant si claire, si vertigineuse, qui ‘a réveillée pour se faire écrire, à 4h30 du matin, de l’autre côté du sommeil !)