Après divers volumes rassemblant divers essais1 sur les phénomènes propres à l’expérience littéraire de l’époque contemporaine et rassemblés sous le nom d’inquiétude, ce texte vient parachever, si cela se peut, le geste en une figure originaire. Ce retour à la fiction étant nécessaire, et pourtant accoutumé au paysage des livres.
Avant-propos
Pericoloso porgermi [Fred Griot et Antonio Tabucchi]
Posologie
Posologie. De Jacques Derrida. Une lettre sur Papier machine [Jacques Derrida]
Frictions
- Au moment critique (01)
- Le chapeau de Sciascia [Leonardo Sciascia et Pierrette Renard]
- Un ruisseau dans le salon [Bernard Hoepffner et Emmanuel Delaplanche]
- Des arbres et la nuit [Christian Garcin]
- Chantiers d’une guerre [Enrique Vila-Matas & Jean-Yves Jouannais]
- Bibliophilie [Gonçalo Tavares]
- [Arno Schmidt]
-
Stefano d’Arrigo
Salvatore Niffoi
Juan Rulfo
Paul Auster & Tony Morisson - Dans la nuit de mardi à mercredi [Arno Bertina]
- « Il faut désarrimer le récit » [Pierre Senges]
- Le feu à la chambre [Régis Jauffret]
- Tous les 22 septembre [Maurice Blanchot et Monique Antelme]
Postfiction
[Antoine Volodine]
- Pour mémoire, La littérature inquiète se répartit en quatre volumes plus ou moins achevés, L’anonyme, Le revenant, qui sont deux monographies, puis Le lir&crir et Petit traité d’itérologie. ↩