Et même, seule la littérature, et je ne dis pas la fable ou la « fiction », est à même de suppléer ; de trianguler, si j’ose dire, le voile du réel, la surface du dehors, qui est changeante, selon les jours, les saisons.
Et cela ne touche en rien la réalité, la vérité ou pire, l’absolu. Ni, derrière ces mots, une quelconque référence au monde corruptible versus quelque royaume.