Tous les regrets, et toutes les joies, celés, enfouis, engoncés depuis le midi brillant et les travaux fastidieux de l’enfance.
En allant dans les jours qui déclinent. Aussi sûrement, se révèlent. Eclatent. Eclosent. Eclaboussent.
La tâche silencieuse alors commence, comme s’estompe le brouhaha laborieux.
Je suis une fleur qui se fane. Ou ces grandes fleurs qu’on croit déjà fanées. A loi l’été dans l’habitude de ce qui est sec, dans l’orbite de ce qui s’échappe.