Je publie ici quatre textes faisant un, normalement disposés en colonnes, mais abandonnées ici pour faciliter de lecture. Ceux-ci apparaissent dans le catalogue de la rétrospective de Mathilde Papapietro à Varsovie.
Il n’est pas toujours facile d’échapper là l’évidence d’un couteau, ni à la nudité. Certains s‘en dépêtrent à l’aide de quelques grossiers expédients ; vulgaires pilules. D’autres n’y parviennent pas. Et puis il y a le fait de se tenir droit dans le lit d’étiage, affrontant la vague nouvelle qui n’est aujourd’hui qu’une langue de cailloux, dont les algues sont de velours, une barbe devenue, une poudrière. Les écussons comme les écrevisses des ornements des carapaces ignorent jusqu’au décapé. Ici la mort, le fond est syntonie, bientôt s’efface la mémoire pour le néant, cette chose blanche de gésir en travers du chemin.