Chaque texte le dernier, comme si se fut inscrit, comme un paraphe dormant, sous chacune de ses failles, au pied, le précepte faussé.
Je n’écrirai plus.
Comme si, roulant sur la marge, comme un feston de silence, abasourdi ou inquiet, le texte portait en lui le jaillissement de sa limite, entendue comme gouffre pariétal, là où s’effondre, avec douceur, le ressassé des jours.
Je meurs de n’écrire plus.
friction solitaire
Zone lentique opposé au lotique des fourmis.
Que vous êtes
Je n’écrirai plus
pour vous.