…le seul jamais avoué (vous pouvez effacer maintenant ; si vous lisez, vous savez). vous êtes, quoi, pas même la…
…es frissons. Surtout qu’aujourd’hui j’ai vu à la fois J. et C., et les autres présents d’ailleurs, et que leurs yeux, à elles, disaient tout ça et plus encore. (Je me rassure en me disant qu’en touchant tes lèvres elles cherchaient à happer un souffle des miennes.) Que S. aussi a bien pris garde d’éviter toute allusion quand je sen…
…vous qui gardez le secret…
…voilà. tout ceci comme un petit clin d’œ…
…veste noire, vous savez, je ne l’avais pas remise après la chapelle, puis je me rends compte qu’elle était maculée…
…de grandes traces blanches de votre foutre. que j’ai porté et porte encore…
…nation, qui est sans borne hélas ! J’imagine tout, dont le pire.
Je ressens ce sentiment des fem…
…devant ces choses très rétif, e…
…x essayer aussi. vous comprendre bien, puisque j’ai souffert de vous savoir prise par ailleu…
…d dans la rue, évidemment cette lettre appelle des remarques, et vous me rétorquerez, et ainsi sans fin nous dialoguerons comme deux cons chacun chez soi…
…d’abord je n’écris pas d’autofiction, et vous le savez, soit c’est une provocation de votre part, soit c’est de la provocation…
…ensuite je ne sais pas si vous saisissez bien l’immin…
… que j’ai choisis de traduire.
…je crève d’envie de venir vous…
… menu et blanc comme une neige sans trace, que j’aurais eu plaisir à retourner enc…
…resser comme une autre personne. La dernière nuit que nous avons passée est légendaire (aussi grâce à la fatigue qui happe les souvenirs et l’état second où nous étions). Mais il est vrai que je n…
…s réveillons en miettes…
…mme je t’en veux et comme je t’envie ! Je ne su…