Au gré du pavé, l’eau s’éteint ; avec la nuit de vent qui pose les nœuds futurs de l’hiver. Au gré du pavé, tout se tient. Les pas les yeux les silences les bouches qui ne parviennent pas à dire les départ bientôt les retours peut-être les araignées les sables les rancœurs et les doutes ; les nuits viennent d’abord, du bruit du pavé, du fond du pavé.
La nuit se tient dans les recoins du pavé.