Depuis pratiquement dix ans, un personnage hante mes textes, qui s’appelle Carlos Futuna.
Je ne sais pas d’où il vient, je ne sais pas où il va, mais il est là. Il est présent de différentes manières mais, pour m’en défaire peut-être, ou le pousser dans ses retranchements, voilà qu’il se dote à présent d’un récit relatant ses stupéfiantes aventures.
Pour une fois, je ne publie pas tout de suite les chapitres écrits sur ce site, mais je garde l’ensemble encore jalousement dans mon ordinateur. Je laisse macérer. Je ne sais pas pourquoi, mais sûrement pas par orgueil littéraire. Je ne me rappelle plus très bien, mais ç’avait été la même chose pour Pas rien, et je dois dire que les deux textes partagent au moins cela qu’ils sont des fictions “légères” de l’été.
Dans cette page, je recense les apparitions avérées et possibles de Carlos Futuna (six dernières pour les séries).
Des fictions propres
Carlos Futuna apparaît dans des récits brefs qui, réunis, peut-être forment un ensemble (on n’en est même pas certain). Ces récits sont intitulés Chroniques, et sont comme différents épisodes d’une même saga — sans qu’on soit certains de l’identité de l’auteur, ou qu’on sache s’il est seul (certains parlent, à part moi, d’un certain Œffner, d’un certain Vort ?).
Lasagnes
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Un journal
Ce journal accompagne parfois les aventures de Futuna ; c’est lui, à la première personne.
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Des citations dans d’autres textes, incidemment
C’est plus difficile à repérer, mais je le trouve par exemple dans ces textes-ci :
- « Il faut désarrimer le récit »
- Mezzogiorno
- fuoridentro chez Pierre Ménard (dans le cadre des “vases communicants”)
- Donner des méls
à suivre ?