Ne vois pas tellement de différence entre le couple formé qui se casane et perpétue, quitte à trouver pour l’un ou l’autre, de temps à autre, amant ou maîtresse, pour tenir, passage,
et le corps solitaire qui demeure non ancré, passe inquiet dans les rues comme un martinet, parcours chaotique en la vie (qu’il soit homme ou femme) — du moment que chacun le vit en plein.