Aujourd’hui la mer a disparu.
Contrairement à hier, je suis beaucoup plus moins fermé, moi-même. J’ai bien avancé, avec les vagues et avec le bleu. Il en reste encore. Encore pour toute une vie. Mais au moins chaque jour son écot.
De toute façon il y a aussi un négatif à la mer. Dans le meilleur des cas je l’appelle terre à retourner, oliviers, courbatures, ampoules et sommeil acquis fièrement.
Pour le reste il n’y a personne.