Depuis la parution de Farigoule Bastard — qui vient de recevoir le prix Jean Follain de la prose poétique 2016 ! — un certain nombre de textes ont été entamés et trouvent difficilement leur résolution finale, pour cause de déplacements, de projets urgents, etc. Ou bien ils ont été écrits dans les carnets physiques, mais il faut prendre ce temps de les relire, de les saisir. En observant les brouillons dans ce cms, j’en compte 391, auxquels j’ôte les 250 textes (environ) de l’Anthologie de Spoon River et les 40 textes de Farigoule Bastard, qu’on m’a demandé de retirer, restent donc une centaine, une centaine !, de textes dont certains sans doute ne tiendront pas le choc.
Certains d’entre eux me tiennent très à cœur, aussi les listé-je ci-dessous, en leur adjoignant un lien qui mène vers une page provisoire vide. C’est peut-être une manière de conjurer le sort et me garder à l’esprit qu’il reste du pain sur la planche. Aussi de mettre à jour les mots-clefs, car l’œuvre d’un auteur évolue, et il me reste aussi à revoir dans le détail certains des textes théoriques du passé, dans lesquels parfois je ne me reconnais plus.
Dans la section [La littérature inquiète]
— Auteurs neutres, textes denses : premières adresses à Pons, Gadenne, Hardellet, et autres auteurs sous-estimés ;
— Sur la voix narrative [de Blanchot] ; texte en cours d’écriture sur l’écriture
— Lignes de crête. Les deux versants de la littérature [l’Odyssée et l’Iliade, Sciascia, Vila-Matas, Calvino, Simenon et Joyce…]; texte sans cesse repris depuis vingt ans sur deux manières de concevoir la littérature ;
— Ecologie et poésie : texte de la conférence prononcée à Nantes en novembre 2015, qu’il s’agirait de saisir…
— Nouvelles du fond [sur Pierre Senges] ; suite à la parution d’Achab (séquelle) ;
— Le chant des abysses. Essai sur Horcynus orca de Stefano d’Arrigo. Celui-ci, par bonheur, est pratiquement terminé. Il me faut juste deux ou trois jours de voirvenir, qui peuvent en revanche arriver très tard ;
— Auteurs inconnus [sur Antoine Volodine] ; suite à la parution de Terminus radieux ;
— L’extrême-fiction [sur Le paradis entre les jambes de Nicole Caligaris] ;
— Souvenir, de Louis-René des Forêts ;
— L’incendie à la chambre [sur Régis Jauffret] ;
— Fragments de Pierre Senges (sur Lichtenberg) ;
Dans la section [Récits] / Aujourd’hui la mer. Journal de Carlos Futuna
Au moins une cinquantaine de textes ont été écrits dans les carnets ; c’est le volet II de l’œuvre de CF. A quoi il faut ajouter une page plus explicite que celle actuellement en ligne.
Dans la section [Sur le chantier] / Les 20 ans d’Ambo(¡)lati
J’ai entamé la relecture et la sélection de certains textes de mes premiers carnets ; j’en suis au sixième, il en reste trente-trois. A chaque fois je parviens à sauver quatre ou cinq textes ; on peut estimer donc un petit groupe d’une grosse centaine de textes.
Dans la section [Traduction] / Horcynus orca
Une dizaine de textes soit entamés, soit non relus, soit simplement évoqués — d’ailleurs, par ailleurs.
Dans la section [Polémos]
— Se payer de mots ; un texte pratiquement abouti sur les évidences et non-sens politiques — les ennuis afférents — l’inanité de bien des conversations politiques due au manque de logique et de sérieux et de culture politique des gens qui parlent de politique ;
— La mort la politique ; un texte pratiquement abouti sur les auteurs engagés politiquement qui ont décidé — par leur engagement — de remiser le geste politique ;
— Sur les Carnets de Gramsci
— Pasolini, écrivain politique
Dans la nouvelle section [TU], pas encore créée
— la table des matières ;
— les différents sections et textes qui composent cette anthologie générale.