Du noir
à la lumière
Il était derrière moi
un monde sinistre
une Forêt-Noire
un monde sans lumière
peuplé d’insectes d’araignées et de vermines
j’ai avancé vers cette porte
qui m’invitait à entrer
méfiance, bizarre cette porte qui m’ouvrait les bras!
Etais-ce un piège de cette sombre nature?
J’avais peur qu’elle ne se referme et m’emprisonne
dans ses branches agressives qui griffent et blessent
je pris le risque
Je passai la porte
Je fus accueilli
par des chants d’ oiseaux
et des parfum des fleurs
A