Toi paysage, celui qui m’oppresse, qui m’entoure, un horizon, des nuages qui te survolent et un soleil qui te sublime.
Quand je t’admire, le crayon s’empare de ma main pour te dessiner au quotidien.
L’hiver arrive, la neige te rhabille d’une couverture blanche, comme une impression d’avalanche.
Le printemps fait son apparition, un temps très agréable qui fait relâcher la pression.
Une envie de ne plus partir me hante, comme si mon absence allait être béante.
DA