« L’IMMOBILITE » disait Ponge la semaine dernière, sous le porche de la maison de maître… Ce qui est l’un des caractères du végétal, et l’une de leurs forces, l’immanence comme dit Francis Hallé, est également de manière peu intuitive un non-critère du vivant, tout en étant un critère discriminant de ce qui ne l’est…
Étiquette : francis hallé
Toponomies • bibliographie
Le 3 décembre dernier, j’étais invité avec Nicole Caligaris et Hélène Frédérick par Pierre Senges, en résidence à Nantes, qui nous proposa cette carte blanche : une joute de lectures de textes ayant trait à l’espace. En voici au moins la bibliographie utile, bigarrée. Voici les texte effectivement lus par les nos soins…
Aperçus bibliographiques pour [tu]
Louis Dumont, Marcel Gauchet, Francis Hallé, François Jullien, Jean Paulhan, Clément Rosset, Emmanuel Todd, pour les penseurs français (on pourrait ajouter quelques pages de Régis Debray, Jean-Charles Kupiec, Frédéric Lordon, Jean-Claude Michéa, et peut-être de Jacques Derrida et Augustin Berque), forment le cœur de la lecture pénétrante qui vient précisément nourrir la réflexion épistémique et,…
Maintenance : textes en souffrance
Depuis la parution de Farigoule Bastard — qui vient de recevoir le prix Jean Follain de la prose poétique 2016 ! — un certain nombre de textes ont été entamés et trouvent difficilement leur résolution finale, pour cause de déplacements, de projets urgents, etc. Ou bien ils ont été écrits dans les carnets physiques, mais il…
Ecologie et poésie
Ce texte est en cours d’écriture ; mais pour des raisons techniques, je créé cette page fantôme…
Des plantes et de la botanique [résidence Instin à Montpellier, 7]
Depuis le mois de décembre, à l’initiative de la Panacée de Montpellier, je suis en résidence avec trois autres membres du Général Instin : Patrick Chatelier, auteur et initiateur du projet, Eric Caligaris, musicien et plasticien et Sylvain Périer, SP38, affichiste. Notre mission : occuper un espace sur le site élaboré par Eli Commins et…
Le devenir-végétal
Ça y est, suis contraint de le faire ce texte que je mets de côté depuis longtemps, mais qui pousse en moi également depuis d’autant. A cause de François Bon, et de sa métaphore du livre comme arbre, dans cette fabuleuse quotidienne (Après le livre) où, dit-il, j’écrivais ici uniquement pour l’écriture même, type de…