il y a une grande rue poudreuse, large avenue flanquée de petites maisons modestes et désuètes ; il y a aussi des cieux, de couleurs divergentes, qui se croisent en des axes précis ; et puis il y a un début de manège, interrompu par le passage de grandes dames et messieurs en ombrelle et hauts de forme.
et puis il y a une suspension de l’air, un appel, un sifflet, une voix nue dans le crépuscule, voilà ce qu’il se produit.
une voix nue dans la nuit,
suspendue,
inquiète,
inquiétante.
appel
tout appel est à l’aide, alors
pour ce qui me concerne je laisse de côté,
la prière.