Les mains d’euphorbe nous paralysent, nous molestent, nous exaspèrent. Nous longeons les vires, plumeuses aux fauchoirs trompeurs.
On est poussé, on est tiré, c’est l’entente sourde, c’est elle c’est moi c’est elle c’est moi et nos paroles à claire-voie voudraient avoir été meilleures que ça.
Mais d’euphorbes, mains acerbes, comme le plaisir nous serre.
On exhume des textes sauvés d’avant les internets. Poème daté “août 1999”, du ZS#08.