Je regarde les persiennes par les interstices humaines1.
On exhume des textes sauvés d’avant les internets. Simplement daté “avril 1999”, fragment isolé du ZS#06.
- Avec sa faute poétique. Je mens, le vrai texte est : « Je regarde par les interstices des persiennes humaines. » Mais je fais ce que je veux chez moi. ↩