C’est un grand honneur évidemment, pour moi, d’accueillir François Bon (Tiers Livre et mot-clé, si j’ose dire, plus que régulier), que je suis depuis que j’ai du net à la maison, pour ce rendez-vous de février des Vases communicants. Et salut à la bande des musiciens qui l’entourent. Mon texte, chez lui, Le verbe du…
Auteur/autrice : Benoît Vincent
La fin des italies (1)
Ce texte fait suite, avec quelques autres, à une première tentative, il y a quelques années. 01 • 02 • 03 • 04 1. Quand on était tout petit, on allait à travers les autoroutes et les plaines padanes à la mer, dans un luna-park qu’à l’époque on adorait (qui aujourd’hui nous effraie). Pour agrémenter…
Salvatore Niffoi • La légende du pays des ceintures • chapitre 1
Salvatore Niffoi est un écrivain sarde (1950), dont la proximité avec Farigoule Bastard est étonnante. Projet de traduction de son œuvre, avec ce premier chapitre d’un livre hélas déjà traduit en français (je n’avais pas bien vu). 1. Abacrasta Abaca, abaco, abakuk… Abacastre, le nom de mon village, vous ne le trouverez pas dans une…
Cartoline
Remise à plat de la section “Cartes postales” de GEnove. : piochant dans les 333 cartes postales que j’ai trouvée dans une espèce de vide-grenier, en épluchant toutes les écritures et en sélectionnant ce qui se rapportait à la ville, et un peu plus, à la manière du grand En avant marge de Pierre Ménard,…
Parler contemporain
Vendredi 13 prochain, je serai accueilli pour la seconde fois par le centre de recherche ARGEC, ovvero « Atelier de Recherches Génois sur l’Ecriture Contemporaine », dépendant de l’université des langues de Gênes et de la faculté de « francesistica », et animé avec vitalité par Elisa Bricco. Ce centre fait partie d’un réseau de trois centres spécialement dédiés…
Pericoloso porgermi
A quoi sert-il d’être seul si pas de réelle mise au point, de bras le corps, son propre corps ? Le temps passe trop vite, je dors trop, je mange trop, je perds trop de temps à trop de choses. Pourtant je suis seul, sans quasi d’internet, je suis libre d’horaires et j’ai sous la…
Pierre Ménard • « On entre dans cet immeuble par une petite porte… » [Les vases communicants]
C’est un grand plaisir pour moi d’accueillir Pierre Ménard, de Liminaire, pour ce rendez-vous des Vases communicants. Mon texte, chez lui, fuoridentro. On entre dans cet immeuble par une petite porte, dans l’entrée c’est à peine si l’on tient à deux, les marches d’un escalier très droit nous conduisent au deuxième étage. Il faut baisser…
D’Ici Là #8
Dans la revue D’Ici Là #8, le dernier texte de GEnove, très volontiers offert à l’infatigable Pierre Ménard, qu’on remercie tous fermement, pour ce thème sur la ville. La forme d’une ville, hélas ! change plus vite que le cœur d’un mortel, est un vers célèbre des Tableaux parisiens de Charles Baudelaire. Julien Gracq et…
Twitter • octobre-décembre 2011
On me suit ici : http://wwww.twitter.com/amboilati | @amboilati — petit trimestre celui-ci… Octobre-décembre 2011 8 Oct 11 Deleuze and Guattari @DeleuzeGuattari Assemblages are defined simultaneously by matters of expression that take on consistency independently of the form-substance relation. 8 Oct 11 Deleuze and Guattari @DeleuzeGuattari Of course, smooth spaces are not in themselves liberatory. Hellz…
Mezzogiorno
Cristo si è fermato a Eboli, dissero. Dissero bene. Manco Cristo è venuto qua, manco il diavolo ce ne scelse casa. Bimbi qui non sopravvivono, o quando lo fanno, sono brutti e malvagi come bestie impazzite. Fu’ un giorno che un pastore scalzo venne in paese, che chiedeva l’elemosina lì sotto. Ci fu un gran…