Un texte de Pistes et sillages, une série de textes poétiques nés de l’écoute des préférés de la discothèque. Base d’improvisation, ou simplement paysage et divagation. Une anthologie. {à partir de Dub housing, Pere Ubu, 1978} Manard Urgence est le mot que je voudrais ici cerner dans son œil. Parce qu’après tout,…
Auteur/autrice : Benoît Vincent
Émissaires de la contrée oubliée
Un texte de Pistes et sillages, une série de textes poétiques nés de l’écoute des préférés de la discothèque. Base d’improvisation, ou simplement paysage et divagation. Une anthologie. {à partir de The Nubians of Plutonia, de Sun Ra, 1966} Nuits de la contrée oubliée Rugit la colonne vertébrale, ou s’ankylose en rauque….
RIP Krzysztof Penderecki
Epilogue tragique
Un texte de Pistes et sillages, une série de textes poétiques nés de l’écoute des préférés de la discothèque. Base d’improvisation, ou simplement paysage et divagation. Une anthologie. {à partir de Tragic epilogue, Antipop Consortium, 2000} Blanchisserie Peut être ça peut être ça peut être une rue dans la ville, un transport…
Les pieds ont de l’imaginaire ou La nostalgie des lucioles
J’aurais dû substituer aux lucioles les dauphins, puisqu’on fait grand cas de leur retour dans les eaux assainies de la Méditerranée. Mais à part le fait que les dauphins ne sont pas si ‘cools‘ que ça, je n’ai pas pu m’empêcher de faire un clin d’œil aux lucioles. L’autre titre est : Les pieds ont…
La solitude du gecko
Ce matin dans la salle d’eau un gecko. (Quelque jours auparavant sous la porte et persienne un gecko je ne sais pas si c’est le même.) Un gecko juvénile fatigué épuisé par le froid le vent de mars. Comment pourquoi est-il entré ? Gecko, tu patientes avec nous tu es plus expérimenté, des millions d’années,…
RIP McCoy Tyner
29 février
Comme dit Angiò dans le carré de son passe-plat (ce qui le rend plus aimable qu’il n’est), tendant une assiette de frisceu : quand y’en a plus, y’en a encore. On se rassoit tous. Demain, la mer.
Noir et l’alcôve
Texte paru dans le recueil hommage à la librairie l’Iris Noir, Paris XIIe en mars 2017 Souvent posé là, posé là sans adresse, pourtant il trouve place : location, coordonnées, et nom. Ce sont de drôles de petites matières. Comme des serviettes trop usées, étendues dans les rues ; comme des placards éventrées, éventrés…
RIP Pierre Guyotat
l’idée fixe comme percée et éclatement du réel