Comme nous travaillons aussi, dans un geste au carré, sur le fonds propre de l’Imec, nous mettons la main, Damien et moi, grâce à Sandrine, archiviste présente depuis le début à l’abbaye d’Ardenne, sur un ensemble de deux boîtes et d’une série de panneaux A0, d’élèves paysagers remontant à vingt années (2004).
Le hasard veut que c’est l’école de Blois où j’interviens quelquefois.
Propositions libres d’étudiants devant une abbaye dans l’entre-deux, vierge de projets mais riche d’histoire, et cette couche de photos, dessins, textes et mots, comme des pellicules sur les ruines, comme des romans sur l’histoire, comme du vide sur du néant.
Du vent sur la poussière.