Le chas d’une aiguille… un tissu laissé au vent, un genre de flanelle ou de crêpe. Un pantalon en lin. Une ligne sépare les arbres, comme des camélias, du ciel, qui se couche bas.
Puis une chose très formelle, comme l’œil d’une caméra… la pluie… et quelque part Jérôme Lindon veille.
Astuce et malice, glissées entre les cuisses d’une jeune fille éperdue.
Qui le toro.
Voilà ce qui, derrière le filigrane, traduit le geste de la main qui de l’autre gomme…
rip ARG X 18/01/08
21 janvier