En tailleur, le cahier sur la cuisse droite, le livre sur la gauche, face au caillou qui est de pôle oriental, devient le centre de mon âme, âme de caillou, itinéraire bousculé, corps ramassé, identité ; cheminement plutôt que chemin, instance putôt qu’instant ; ne lutte plus, se résout, se résorbe dans le nègre dedans ; la part du feu ; la plage sombre trop longtemps muselées, bornées des filets, des clôtures.
Nœud où se nouent les brins de conscience et de non, la vie et la mort, l’âme et le corps, et toutes médiocres et incomplètes oppositions de nos mondes, sans plus personne président au verbe, étincelle complète seulement, et l’incomplète en sus, devenir, devenant, face au caillou, dedans.