Où l’on apprend que…
§ La mer rendait la villa —
§ Ce tremblement, dans le miroir de l’eau, donnait un mouvement à ce qui, désormais, n’en avait plus. Toute la maison serait maudite. Elle était moche, et nulle, et non avenue. Il n’y a rien à en dire. Ils sont partis. Ils m’ont laissée. Je suis morte. Pas la peine d’en faire un roman. C’est la vie. Ces petits cons ont eu ce qu’ils voulaient. Maintenant qu’on me foute la paix.
§ Qu’on me laisse dormir.
Je découvre (grâce @theoneshotmi) et j’aime la façon dont les tags, à leur manière, comment dire, sans phrase, en disent ou en suggèrent, ouh là là, bien davantage que ce qu’esquisse ce chapitre liminaire :) Deux lignes de texte comme un train qui en double un autre à grande vitesse.