Je publie ici quatre textes faisant un, normalement disposés en colonnes, mais abandonnées ici pour faciliter de lecture. Ceux-ci apparaissent dans le catalogue de la rétrospective de Mathilde Papapietro à Varsovie.
On croit souvent / seulement le revers (parce qu’en réalité on ne sait jamais où se mettre, si on sait où on est — et on ne sait pas toujours). Qu’on ferait mieux de monter des pierres comme pour ériger un petit cairn, signal à la croisée des chemins, et que les temps s’évertuent à ébouler. S’évertuent à s’évader par les persiennes ou se découpent en lobes plumes ou épines confondues. Cela s’amoncèle en tumultes de désirs d’os, de coquilles effritées, de murs arrachés, de heurts avec les mémoires d’humide, de feutré, de vaguement chaud (promesse de chaleurs, chaleurs).
Raccrocher le train des lunes, alors se mine, se rend l’otage calendrier, passe, et passe.